CENTRE HOSPITALIER DE LIMOUX
10 mai 1678, Louis XIV le Grand veut et ordonne la fondation de l'Hôpital Général de Limoux.
HISTORIQUE
En 1678, le roi Louis XIV décide de créer des hôpitaux généraux. Le centre hospitalier de Limoux n’est édifié qu’en 1682, rue de l’hospice, et sert d’asile aux pauvres, valides et invalides des deux sexes, de la ville et du diocèse de Limoux, qui y sont recueillis, soignés et instruits à titre gratuit.
Depuis 1815 et jusqu’à la moitié du XXème siècle, Le centre hospitalier de Limoux est dirigé par les sœurs hospitalières de Nevers.
Après la guerre 1939-1945, le personnel devient civil et salarié. Le centre hospitalier de Limoux est modernisé, une aile de bâtiments est transformée en maternité.
Après la guerre 1939-1945, le personnel devient civil et salarié. Le centre hospitalier de Limoux est modernisé, une aile de bâtiments est transformée en maternité.
Dans le cadre de l’humanisation des hôpitaux, le conseil d’administration entreprend de rénover plusieurs services et de reconstruire des surfaces plus importantes. Les travaux, commencés en 1983, ont duré environ deux ans.
En juin 1999, la clinique de Quillan est rattachée au centre hospitalier de Limoux et convertie en services de médecine et de soins de suite et de réadaptation. Le 1er juin 2005, l’EHPAD de St Hilaire est rattaché au centre hospitalier de Limoux.Le 1er janvier 2013, l’EHPAD de Roquefeuil est rattaché au centre hospitalier.Après divers travaux d'aménagements de moindres importances réalisés au fil des ans, une refonte totale du site historique débute en 2009 avec la construction de l'EHPAD André Chénier puis en 2011, la reconstruction du site historique qui s'achève en novembre 2014. A l'issue de la reconstruction du site historique, plusieurs cabinets de spécialistes, généralistes et radiologues sont venus s'installer dans l'établissement. Au total, les différents changements permettent au centre hospitalier de Limoux-Quillan d’apporter une réponse adaptée aux besoins de santé de la population, tant dans le secteur sanitaire que médico-social, dans le souci d'un parcours de soins coordonné.
Avant la reconstruction de l'établissement
Après la reconstruction de l'établissement
L'évolution de l'établissement s'est trouvée symboliquement exprimée par le changement du nom de sa rue qui, de "rue de l'hospice" est devenu "rue Madeleine Brès" (première femme médecin en France originaire de la région).
